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Quelle-est la définition de la procrastination au travail ?

Par 31 août 2023août 23rd, 2024Pros de l'immo

En France, la définition de la procrastination est un mot que nous avons tous entendu et, très probablement, expérimenté.

Mais qu’implique réellement cette tendance et cette action à procrastiner ?

définition de la procrastination

En analysant les facettes variées de la procrastination, on découvre que c’est bien plus qu’une simple paresse.

Définissons la procrastination et explorons son origine linguistique en anglais, discuter de son impact sur le travail, et examiner les raisons pour lesquelles cette tendance peut être parfois bénéfique.

Définition de la procrastination

Selon le dictionnaire en France, la définition de la procrastination est l’action de repousser ou de retarder une tâche que l’on doit accomplir dans la journée.

Ce n’est pas juste une absence d’intention, c’est une décision consciente ou inconsciente de reporter quelque chose qui nécessite notre attention.

Ce manque de motivation est le comportement consistant à retarder ou repousser au lendemain des actions ou tâches qui devraient être accomplies.

Ce n’est pas seulement une absence de motivation, mais souvent un choix conscient ou inconscient de reporter des raisons spécifiques en faveur d’une autre activité jugée plus agréable ou moins anxiogène.

Ce type de personnalité à reporter peut entraîner diverses conséquences, positives ou négatives, sur la productivité, la qualité et la santé mentale ou physique de l’individu.

La définition de la procrastination peut être occasionnelle ou chronique, et elle peut toucher divers aspects de la vie, y compris le travail, les études, la santé et les relations personnelles.

La traduction en anglais : « procrastinate »

Selon John Perry, le mot « procrastiner » vient du latin « procrastinare, » qui est composé de « pro- » signifiant « pour demain » et « crastinus » signifiant « appartenant à demain ».

Dans la langue anglaise, ce terme et action a une connotation souvent négative, associée à la paresse ou à l’indécision.

Le mot « procrastinate » en langue étrangère a des origines latines.

Dans le contexte anglophone des anglais, ce mot est souvent associé à une connotation négative, liée à la paresse, à l’indécision ou à l’inefficacité.

Comme en français, la définition de la procrastination est considérée comme le fait de retarder ou de remettre à plus tard des missions au lendemain qui nécessitent une attention immédiate.

Ce comportement peut affecter divers domaines de l’existence et est souvent considéré comme un obstacle à la productivité et à la réalisation de soi.

procrastiner au lendemain

Tâche et travail : l’impact sur la productivité

Selon le dictionnaire, la définition de la procrastination peut avoir un effet dévastateur sur le travail.

Elle peut entraîner des retards dans les projets, réduire la qualité de la productivité, et créer du stress supplémentaire.

Lorsque nous procrastinons, nous choisissons souvent des tâches plus agréables ou moins exigeantes au détriment des actions plus importantes ou urgentes, ce qui peut compromettre notre rendement professionnel.

L’impact de la procrastination sur l’entreprise peut être considérable, notamment de procrastiner en matière de productivité.

Quand une personne repousse constamment des actions importantes, cela peut entraîner des retards dans la réalisation de projets, affectant non seulement l’individu mais aussi les objectifs globaux de l’équipe ou de l’organisation.

De plus, les relations en entreprise sont souvent compromises. Les travaux finalement réalisés dans la précipitation pour respecter un délai peuvent être moins soignées, contenir des erreurs ou manquer de profondeur dans l’analyse.

Ce manque d’action peut également accroître les niveaux de stress et d’anxiété ou de peur, ce qui est non seulement préjudiciable pour la santé mentale, mais peut également nuire à la concentration et à l’efficacité dans l’accomplissement de futures travaux.

En ce qui concerne l’efficacité personnelle, l’habitude de repousser à plus tard dans la journée ou la semaine peut éroder la confiance en soi et limiter les opportunités de croissance professionnelle et personnelle.

Enfin, la procrastination peut conduire à une utilisation inefficace du temps, car la diminution moins importantes sont souvent exécutées au détriment des plus urgentes.

Cela peut aboutir à une mauvaise allocation des ressources, notamment du temps.

Toutefois, il est possible de gérer et même de surmonter cette effet par le biais de meilleures stratégies de gestion du temps, une planification plus efficace et une prise de conscience des déclencheurs personnels d’intention.

Définition de la procrastination et santé : un lien complexe

Le trait de caractère au travail à procrastiner peut également avoir un impact sur la santé. Le stress généré par la procrastination peut entraîner des problèmes mentaux tels que l’anxiété et la dépression.

De plus, selon John Perry retarder des tâches comme des rendez-vous médicaux ou des exercices physiques peut avoir des conséquences néfastes sur le physique.

L’une des premières conséquences de la procrastination est souvent une augmentation de l’anxiété de la personne qui peut se manifester par des symptômes physiques comme des maux de tête ou des troubles du sommeil.

Ce stress peut également contribuer à des problèmes mentaux plus graves, comme la dépression, en particulier en raison du sentiment de culpabilité et d’échec souvent associé à la procrastination.

Par ailleurs, retarder des actions importantes telles que des rendez-vous médicaux ou des exercices physiques peut avoir des répercussions négatives sur la santé physique, allant jusqu’à provoquer des problèmes à long terme comme l’obésité ou des maladies cardiovasculaires.

La qualité de vie peut également être affectée, car le manque de concentration et l’incapacité à accomplir un jugement important peut conduire à une négligence des besoins personnels, comme une mauvaise alimentation ou un manque d’exercice.

Enfin, les effets de la définition de la procrastination peuvent s’étendre aux relations personnelles, car l’anxiété générés peuvent entraîner de l’irritabilité et des tensions avec les proches.

La procrastination est plus qu’une simple mauvaise habitude ou un défaut de caractère, elle peut avoir des conséquences sérieuses sur le bien-être général. Comprendre cette complexité est crucial pour aborder le comportement de manière plus saine.

Est-ce que la procrastination est une maladie ?

La procrastination n’est pas généralement classée comme une maladie au travail au sens médical.

Cependant, dans des cas extrêmes ou chroniques, elle peut être un symptôme de conditions psychologiques plus sérieuses telles que le Trouble Déficit de l’Attention avec ou sans Hyperactivité (TDAH), l’anxiété ou la dépression.

Cette forme sévère de manque d’intention et d’action dans la journée peut devenir problématique si elle interfère de manière significative avec les salaries quotidiens, la réalisation d’objectifs ou le bien-être général.

Si cela se produit, une évaluation médicale ou psychologique pourrait être nécessaire pour déterminer si des traitements médicamenteux ou des interventions psychologiques, comme la Thérapie Cognitivo-Comportementale (TCC), sont nécessaires pour aborder le problème sous-jacent.

Ainsi, bien que la procrastination ne soit pas en soi une maladie, elle peut dans certains cas être un indicateur de problèmes de santé mentale qui requièrent une attention professionnelle.

terme anglais de la définition de la procrastination

Un ajournement universel

Notez que la procrastination n’est pas seulement un phénomène occidental ou moderne. Il s’agit des raisons universelles qui existent depuis la nuit des temps et qui touche presque toutes les cultures et toutes les classes d’âge.

Qu’il s’agisse d’étudiants retardant leurs révisions pour un examen ou de professionnels repoussant un projet important, la psychologie à procrastiner est une expérience humaine commune.

Cette universalité de jugement peut en partie s’expliquer par des facteurs psychologiques et biologiques du travail.

Par exemple, notre cerveau est câblé pour privilégier les récompenses immédiates aux bénéfices à long terme, ce qui nous pousse souvent à choisir des activités plus agréables à court en dépit des conséquences dans le futur.

De plus, la procrastination peut également être influencée par des facteurs sociaux et environnementaux, tels que la pression des pairs ou le manque de structures de soutien.

Bien qu’elle soit souvent stigmatisée comme un signe de paresse ou d’inefficacité, avant de procrastiner, il faut reconnaître qu’il s’agit d’un comportement complexe influencé par une multitude de facteurs.

Comprendre sa nature universelle peut être la première étape pour développer des stratégies efficaces pour la gérer, que ce soit au niveau individuel ou organisationnel.

Tout remettre au lendemain

La tendance à toujours remettre à plus tard, souvent appelée procrastination chronique, est une attitude de manque d’action qui peut avoir des implications importantes sur divers aspects du futur, allant de la productivité au bien-être émotionnel.

Cette forme de manque de motivation dépasse le simple report occasionnel d’une tâche; elle devient un mode de vie qui peut entraver la réalisation des objectifs personnels et professionnels.

Problèmes associés

Toujours selon John Perry, ce type de raisons peut entraîner des problèmes multiples, notamment des retards dans les projets, une mauvaise relation de travail, un stress accru et même des conséquences néfastes pour la santé.

Procrastiner peut également engendrer une spirale de culpabilité et d’angoisse, créant un cercle vicieux difficile à rompre.

Causes sous-jacentes

La procrastination chronique peut être due à des facteurs psychologiques tels que la peur de l’échec, une faible estime de soi, ou même un perfectionnisme malsain. Dans certains cas, elle peut également être le symptôme de conditions sous-jacentes comme l’anxiété ou la dépression.

Quelques solutions

Pour briser ce cycle, plusieurs stratégies peuvent être employées au long de la journée. La première étape consiste souvent en une prise de conscience et en l’identification des raisons sous-jacentes.

À partir de là, des techniques de gestion du temps, des méthodes de fixation d’objectifs et même une aide professionnelle comme la thérapie cognitivo-comportementale peuvent être utiles.

Enfin, bien que la psychologie à toujours remettre au lendemain soit une forme de procrastination particulièrement persistante, il est possible de la surmonter.

Le fait de prendre des mesures proactives pour comprendre les causes profondes et adopter des stratégies efficaces peut aider à transformer cette attitude destructrice en une force motrice pour réaliser ses objectifs et améliorer sa qualité de l’info.

dictionnaire de la définition

Comment appelle ton une personne qui fait preuve d’ajournement ?

Selon le dictionnaire en français, une personne qui remet systématiquement tout au lendemain est souvent qualifiée de « procrastinateurs ».

Le mot « procrastinateur » vient du mot latin « procrastinare », qui signifie littéralement « à remettre à plus tard ».

Ce type de personnalité se manifeste par une tendance à reporter des tâches importantes, qu’elles soient liées au travail, à l’éducation ou à l’info personnelle, au profit d’activités plus immédiatement gratifiantes ou moins exigeantes.

Notez que tout le monde peut procrastiner à un moment donné, mais lorsque le manque d’action devient chronique et interfère significativement avec la productivité et le bien-être, il peut être considéré comme problématique.

Dans ces cas, l’agent peut avoir besoin de stratégies d’intervention pour changer cette attitude.

Le terme « procrastinateur en français » du dictionnaire est utilisé indépendamment du contexte culturel ou professionnel et représente une caractéristique comportementale universelle.

Quand la procrastination peut être bénéfique

Étonnamment, la définition de la procrastination n’est pas toujours néfaste.

Parfois, retarder une action peut donner du temps pour la réflexion, ce qui peut entraîner de meilleures décisions.

Dans certains cas, la pression de ce trait de caractère négatif qui découle du retard peut effectivement améliorer la performance.

Voici 6 situations où la procrastination peut en fait être utile :

  • Délai pour la prise de décision : Elle peut fournir un délai précieux pour réfléchir à des décisions importantes. Dans un monde où l’on est constamment poussé à agir rapidement, prendre du temps pour mûrir une décision peut conduire à des choix plus réfléchis et mieux informés.
  • Créativité accrue : Certains types de procrastinateurs peuvent en fait stimuler la créativité. Lorsqu’on reporte une tâche, il arrive que notre subconscient continue à travailler sur le problème, ce qui peut aboutir à des solutions plus innovantes que si l’on avait forcé une conclusion rapide.
  • Autonomie et contrôle : Elle peut aussi être une forme de rébellion contre des structures ou des attentes externes, ce qui peut vous donner un sentiment d’autonomie et de contrôle sur votre vie.
  • Repos et récupération : Dans certains cas, la définition de la procrastination peut être le signe que vous avez besoin de repos. En écoutant ce besoin et en prenant du temps pour vous, vous pouvez revenir à la mission avec une perspective rafraîchie et une meilleure capacité de concentration.
  • Priorisation des tâches : Ce manque de motivation et d’action peut parfois aider à révéler ce qui est vraiment important. Si vous trouvez que vous reportez toujours une certaine tâche, cela peut être un indicateur que cette mission n’est peut-être pas aussi cruciale que vous le pensiez initialement.
  • Diminution de la pression : Dans des situations où la pression est très élevée, procrastiner peut parfois réduire le niveau de stress en permettant une échappatoire temporaire.

Bien sûr, ces bénéfices potentiels en transformant cette habitude en trait de caractère positif ne signifient pas que la procrastine est toujours souhaitable.

Comme pour tout procrastinateurs présent, l’excès est préjudiciable. Mais notez que la définition de la procrastination n’est pas toujours le monstre qu’elle est souvent faite pour être. En fait, abordée correctement, elle peut parfois être une alliée.

remettre sa tache au lendemain

Conseils pour lutter contre la définition de la procrastination

En anglais, pour lutter efficacement contre la procrastination et la peur, plusieurs stratégies et conseils peuvent être employées.

Pour arrêter de procrastiner, commencez par établir une liste de futurs tâches classées par priorité et découpez les gros projets en étapes plus petites pour les rendre moins intimidantes.

La méthode Pomodoro, qui préconise des cycles de travail de 25 minutes suivis de courtes pauses, peut aider à maintenir l’attention.

Pour les actions de courte durée, appliquez la règle des deux minutes au long de la journée : si cela prend moins de deux minutes, faites-le tout de suite.

Utilisez des récompenses et des affirmations positives pour encourager le comportement souhaité. La méthode PDCA fait également ses preuves.

Fixez des objectifs SMART (Spécifiques, Mesurables, Atteignables, Réalistes, Temporels) et faites des revues régulières pour ajuster votre plan d’action.

N’oubliez pas l’importance d’une bonne santé mentale et physique : un exercice régulier et un sommeil suffisant peuvent considérablement améliorer votre concentration et votre énergie.

Enfin, le soutien d’une personne de confiance ou d’un professionnel peut ajouter une couche de responsabilité et vous fournir des conseils personnalisés.

Selon le dictionnaire, en combinant ces différentes méthodes, vous pouvez développer une approche personnalisée pour combattre la procrastination et améliorer votre productivité.

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