Si vous-vous demandez comment arrêter de procrastiner, sachez que nous sommes tous coupables de procrastination à un moment ou un autre.
Ce comportement insidieux peut s’infiltrer dans notre travail, affecter nos objectifs et compromettre la qualité de notre journée.
Mais comment arrêter de procrastiner sans stress et lutter pendants plusieurs minutes afin d’optimiser notre tache quotidienne ?
Découvrez 7 conseils et actions à mettre en place tout au long du jour pour atteindre vos objectifs.
Comprendre avant de lutter contre la procrastination
La définition de la procrastination est l’art d’ajourner ou de différer une tâche ou un ensemble de tâches.
Cette tendance à mettre au lendemain se manifeste lorsque nous choisissons de faire une action qui semble plus plaisant ou moins ardu, au détriment de travaux plus urgents et importants.
Ignorer vos responsabilités peut conduire à une accumulation de travail, à un stress accru et à un sentiment d’échec. En outre, cela peut également retarder la réalisation de vos activités personnelles ou professionnelles.
Pour arrêter de procrastiner, il est important de comprendre ce qui déclenche ce comportement. Cela peut être une peur de l’échec, un manque de motivation ou même un environnement de travail peu stimulant.
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Quelles-sont les deux types de personnalité ?
Lutter contre la procrastination est souvent perçue comme un comportement unique et monolithique, mais en réalité, il existe plusieurs types qui peuvent avoir des origines et des solutions différentes.
Comprendre ces nuances quelques minutes peut être utile pour développer des stratégies efficaces afin de combattre ce phénomène.
Généralement, on distingue deux formes principales de procrastination : passive et active.
Procrastination passive
Elle se manifeste lorsque l’on remet involontairement une tâche à plus tard, généralement en raison de la peur, de l’incertitude, ou de l’absence d’action.
Dans ce cas, les personnes se trouvent souvent à la merci de distractions ou à passer du temps sur un projet non essentiel pour éviter d’aborder ce qu’elles devraient vraiment faire.
L’effet de la procrastination active
Les personnes qui procrastinent activement choisissent consciemment de repousser une tâche, souvent parce qu’elles trouvent une certaine valeur ou un certain plaisir dans le retard.
Cela peut être une manière de défier l’autorité ou de tester leurs limites, en se disant, par exemple, « Je veux voir si je peux accomplir cette tâche à la dernière minute. »
Stratégies de lutte
Pour la passive, les solutions pourraient impliquer la mise en place de systèmes pour augmenter la motivation, comme des échéances auto-imposées, ou l’utilisation de techniques pour minimiser les distractions.
Des méthodes comme la roue de Deming ou la méthode « Two-Minute Rule » (règle des deux minutes) peuvent être utiles.
Pour l’active, le défi est souvent de s’attaquer aux raisons sous-jacentes du comportement.
Cela peut nécessiter une introspection profonde pour comprendre pourquoi on trouve du plaisir ou de la valeur à repousser au lendemain.
Dans ce cas, un travail avec un psychologue ou un coach de vie peut être très bénéfique.
Comment arrêter la procrastiner ?
Lutter contre la procrastination est une tâche ardue, mais absolument réalisable pour dompter ce trait de caractère négatif.
Prenez le temps de comprendre les raisons qui sous-tendent ce comportement et en appliquant des stratégies efficaces, vous pourrez maximiser votre productivité et atteindre vos objectifs sans sacrifier la qualité de votre journée.
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Priorisation des tâches
Prioriser vos actions avec la méthode Pomodoro est peut-être l’une des méthodes les plus efficaces pour lutter contre la procrastination et optimiser votre productivité dans la vie.
Ce processus implique de trier et de classer vos tâches en fonction de leur importance et de leur urgence, vous permettant ainsi de concentrer vos efforts là où ils sont le plus bénéfiques.
La priorisation des objectifs et de votre temps est efficace car cela réduit l’anxiété et le maintien d’un niveau de d’effet élevé.
Plusieurs outils et techniques peuvent vous aider dans ce processus de hiérarchisation.
La Matrice d’Eisenhower ou le test MBTI par exemple, sont des excellents outils qui catégorisent le projet en quatre quadrants basés sur leur niveau d’urgence et d’importance.
Cela vous guide sur les missions à entreprendre immédiatement, celles à planifier, celles à déléguer, et celles à éliminer.
Les conseils et méthodes qui fonctionnent
Une autre technique populaire est la Technique Pomodoro, qui divise le temps en intervalles de travail et de pause, aidant à maintenir l’énergie et la concentration. Vous pouvez également utiliser la méthode PDCA pour attribuer des lettres aux tâches selon leur importance relative et les accomplir en suivant l’ordre alphabétique.
L’établissement de deadlines ou de dates limites est également un aspect essentiel de la priorisation d’un projet.
Cela ajoute un sens de l’urgence et peut grandement améliorer votre efficacité et productivité.
Cependant, révisez et d’ajustez régulièrement vos missions prioritaires, car les situations et les exigences peuvent changer. Enfin, n’oubliez pas de vous récompenser pour le travail accompli ; une petite gratification peut être un puissant motivateur.
Luttez contre la procrastination en fixant des objectifs réalistes
Fixer des objectifs réalistes vous aidera à sortir du cercle vicieux de la lutte contre procrastination et pour mieux structurer votre travail et votre tache.
Le problème, c’est lorsque les activités sont irréalistes ou trop ambitieux, la probabilité d’échec augmente, ce qui peut être un déclencheur important du manque de motivation.
À l’inverse, des objectifs atteignables renforcent votre sens de l’efficacité personnelle, augmentent votre rapport et rendent le processus de travail plus gérable.
Il est important que ces minutes soient spécifiques, mesurables, réalisables, pertinents et liés à une échéance précise (objectifs SMART).
Ce cadre vous permet non seulement de clarifier vos idées, mais aussi de concentrer vos efforts et de mesurer vos progrès avec précision.
En outre, la réalisation successive de petits objectifs peut servir de catalyseur pour des accomplissements plus importants, créant ainsi un cercle vertueux d’efficacité et de confiance en soi.
N’oubliez pas de réévaluer et d’ajuster vos missions en fonction de vos succès et des obstacles rencontrés.
Cette pratique réflexive vous aidera à rester aligné avec vos ambitions tout en minimisant le risque du manque de motivation.
Comment arrêter de procrastiner en planifiant votre journée ?
Planifier votre vie est une étape importante pour éviter cette tendance à remettre tout au lendemain et optimiser votre efficacité.
Un planning bien structuré sert de feuille de route pour naviguer à travers les diverses responsabilités qui composent votre quotidien.
Sans un plan, il est facile de devenir esclave des distractions et des urgences, ce qui peut rapidement saboter votre productivité et engendrer des sentiments d’échec.
La première étape dans la planification du jour est d’établir une liste complète de votre activité.
Ensuite, utilisez les principes de priorisation pour trier ces tâches en fonction de leur importance et de leur urgence.
Une fois cette hiérarchisation effectuée, attribuez à chaque tâche un créneau horaire spécifique dans votre journée. Veillez à laisser des périodes pour des pauses et du temps libre afin d’éviter le burnout.
Il existe divers outils et articles pour aider à retrouver de l’énergie et vaincre ce trait de la personnalité.
Les agendas papier, les applications de gestion du temps et les listes de tâches sont des moyens efficaces de garder une trace de ce que vous avez prévu.
Certains choisissent d’utiliser des techniques comme la technique Pomodoro pour diviser leur temps de travail en blocs spécifiques, entrecoupés de pauses courtes.
Mais planifier ne signifie pas seulement créer un horaire rigide.
La flexibilité est également importante, car il y aura toujours des imprévus ou des changements de dernière minute. L’essentiel est d’avoir un cadre général qui guide vos actions tout en vous permettant de vous adapter en fonction des circonstances.
Astuces pour briser votre activité en petites étapes
Briser une tâche en petites étapes est une technique inestimable pour arrêter de procrastiner et pour rendre le travail plus gérable.
Souvent, nous remettons à plus tard ou au lendemain parce que le rapport qui nous attend semble trop grande ou trop compliquée.
Ce sentiment d’écrasement peut inhiber l’action, nous laissant piégés dans un cycle pour lutter contre la procrastination.
La solution à ce problème est de décomposer la tâche en éléments plus petits et plus réalisables, créant ainsi un chemin clair vers l’achèvement.
Commencer par identifier les différentes composantes ou phases de votre action.
Une fois cette attention établie, attribuez-leur des échéances spécifiques pour créer un sentiment d’urgence et de responsabilité.
Ces étapes plus petites deviennent vos nouveaux objectifs à court terme, chacun étant un jalon sur le chemin de la réalisation de votre objectif plus large.
En se concentrant sur ces mini-conseils, le travail semble moins intimidant, et vous êtes plus susceptible de prendre des mesures immédiates.
L’avantage de cette approche est qu’elle rend le processus en entreprise moins intimidant tout en fournissant des occasions régulières pour des petites victoires.
Chaque étape accomplie donne un coup de pouce à votre confiance et à votre rapport, alimentant un cycle positif d’efficacité personnelle.
N’oubliez pas de célébrer ces petites victoires. Les récompenses, même minimes, peuvent servir de motivation supplémentaire, renforçant l’habitude de prendre des mesures proactives plutôt que de remettre à plus tard.
Comment arrêter de procrastiner en limitant les distractions ?
L’élimination des distractions est une stratégie pour lutter contre la procrastination et optimiser votre rendement au travail.
Dans notre monde moderne connecté, les distractions sont omniprésentes : notifications de réseaux sociaux, e-mails, appels téléphoniques, et même des pensées intrusives peuvent tous servir d’obstacles à la concentration et à l’efficacité.
Prenez note de ce qui attire régulièrement votre attention loin de vos travaux.
Une fois que vous avez trouvé un bon rapport, trouvez des moyens de minimiser ou d’éliminer ces éléments perturbateurs.
Par exemple, si votre téléphone est une source constante de distraction, envisagez de le mettre en mode « Ne pas déranger » ou de l’éloigner physiquement de votre espace de travail pendant les périodes intenses.
Des outils numériques tels que les applications de blocage de sites web ou de suivi du temps peuvent aussi être très utiles.
Ces outils peuvent vous aider à restreindre l’accès aux sites web ou aux applications distrayants pendant des périodes définies, vous permettant ainsi de vous concentrer plus pleinement sur la tâche à accomplir.
Mais les distractions ne sont pas toujours externes; elles peuvent aussi être internes, comme des pensées ou des préoccupations qui envahissent votre esprit dans votre vie.
Dans ces cas, des techniques comme la méditation ou la pleine conscience peuvent être efficaces pour recentrer votre attention.
Prévoyez également des pauses pour vous permettre de vous relaxer et de récupérer. Ces articles sont des moments délibérés pour l’auto-distraction et peuvent en fait améliorer la concentration et la performance quand vous retournez au travail.
Restez engagé et suivez vos progrès pour lutter contre la procrastination
Ces conseils sont deux piliers fondamentaux pour arrêter de procrastiner et atteindre une efficacité optimale dans votre travail.
L’engagement implique une détermination constante à atteindre vos objectifs, tandis que le suivi de vos progrès vous permet de mesurer votre efficacité, d’ajuster vos méthodes et de maintenir votre motivation.
Le maintien de l’engagement peut être facilité par des techniques de visualisation, où vous imaginez les bénéfices à long terme de l’achèvement de votre activité.
De plus, se fixer des échéances, bien que cela puisse sembler stressant, peut en réalité augmenter votre niveau d’engagement en ajoutant un sens de l’urgence à vos actions.
Le suivi de vos progrès, quant à lui, peut être effectué de diverses manières.
Des outils numériques pour lutter contre la procrastination tels que les applications de gestion de missions ou les tableaux de bord de suivi peuvent être très utiles pour quantifier vos réalisations.
Toutefois, même des méthodes plus simples comme la tenue d’un journal ou une liste de contrôle peuvent être efficaces.
Le suivi régulier offre plusieurs avantages.
Premièrement, il met en lumière vos succès, aussi petits soient-ils, ce qui peut être un puissant booster de motivation.
Deuxièmement, il vous permet de repérer les obstacles ou les goulets d’étranglement dans votre processus, vous donnant l’occasion de trouver des solutions ou d’ajuster votre approche.
De plus, le suivi de vos progrès peut également être une source de récompense. Atteindre un jalon peut être une raison de se donner une petite récompense, ce qui peut à son tour augmenter votre motivation et votre désir de rester engagé et arrêter de procrastiner.
Analysez vos comportements
Décortiquer ses comportements pour repérer les moments où l’on procrastine est une démarche introspective qui peut offrir des informations précieuses pour combattre ce fléau.
Souvent, lutter contre la procrastination n’est pas le résultat d’une paresse innée, mais plutôt le symptôme d’obstacles psychologiques ou émotionnels plus profonds.
Comprendre ces déclencheurs de procrastinateurs peut vous aider à développer des stratégies ciblées pour contrer ce comportement.
Pour commencer, prêtez attention aux situations ou au type d’action qui vous font généralement rien faire pendant plusieurs minutes.
Est-ce que cela arrive lorsque vous êtes confronté à une tâche particulièrement difficile ou ennuyeuse ? Ou peut-être lorsque vous êtes incertain de vos compétences ? Notez ces observations, car elles pourraient servir d’indices pour identifier les déclencheurs sous-jacents.
Ensuite, examinez vos comportements et vos pensées lors des épisodes de perfectionnisme.
Utilisez un journal ou une application de suivi pour enregistrer ce qui se passe dans votre esprit et autour de vous lorsque vous remettez les choses à plus tard et faites un rapport.
Cela pourrait inclure des excuses que vous vous faites, des distractions auxquelles vous succombez, ou même des sensations physiques comme la fatigue.
Après avoir recueilli ces données, analysez-les pour identifier des modèles ou des tendances.
Vous pourriez découvrir que vous procrastinez plus souvent à certaines heures de la journée, ou lorsque vous êtes dans un certain état d’esprit.
Avec ces informations, vous pouvez élaborer des stratégies spécifiques pour aborder les causes profondes de votre procrastination et arrêter de procrastiner.
Par exemple, si vous trouvez que vous procrastinez souvent en raison de la peur de l’échec, des techniques de gestion de l’anxiété pourraient être bénéfiques.
Comment arrêter de procrastiner avec la matrice d’évaluation ?
La matrice d’évaluation du niveau de procrastination est un outil qui peut vous aider à mieux comprendre vos habitudes de procrastination et à identifier des voies pour l’améliorer.
Elle est souvent structurée autour de deux axes : l’urgence de la situation et son importance.
Ces deux critères permettent de classer vos tâches et vos comportements dans quatre quadrants qui peuvent vous aider à mieux saisir les raisons sous-jacentes pour lutter.
- Urgent et important : Tâches dans ce quadrant sont celles qui nécessitent votre attention immédiate. Vaincre votre défaut sur ces tâches peut avoir des conséquences graves. Si vous vous trouvez souvent à retarder ce genre de travail, cela peut indiquer un problème de gestion du temps ou de priorisation.
- Non-urgent mais important : Ces projets sont souvent les plus susceptibles de subir car leur absence d’urgence peut donner l’illusion qu’elles peuvent être retardées. Néanmoins, elles sont cruciales pour le succès à long terme. Rien faire en entreprise ici peut indiquer que vous êtes captivé par l’urgence au détriment de l’importance.
- Urgent mais non-important : Ce sont les missions qui semblent nécessiter une action immédiate, mais qui, en réalité, n’ont pas beaucoup d’impact sur votre vie ou vos objectifs à long terme. Arrêter de procrastiner sur les tâches importantes en faveur de celles-ci indique souvent un trait à être réactif plutôt que proactif.
- Ni urgent, ni important : la situation dans ce quadrant sont celles qui sont souvent associées à des formes de procrastination active, où l’on choisit consciemment des activités de moindre valeur pour éviter des tâches plus significatives. Si vous passez beaucoup de temps ici, cela peut indiquer une fuite devant des défis plus grands ou un manque de clarté sur vos objectifs réels.
Une fois que vous avez évalué votre tendance à travers cette matrice, vous pouvez commencer à développer des stratégies pour chaque type de comportement.
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Par exemple, pour les tâches dans le Quadrant 2, qui sont importantes mais souvent négligées, vous pourriez instaurer des blocs de temps dédiés pour les aborder, loin des distractions.
